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Wohltat des Freiwerdens.... Qualen des Gebundenseins....

Es ist das Erdenleben euch gegeben zur Loslösung aus der Form.... Was das bedeutet, wird euch erst im geistigen Reich so recht verständlich, wo euch jegliche Hülle hinderlich ist, weil sie immer eine Fessel des Geistes bedeutet. Und gefesselt ist der Geist so lange, wie noch ein irdischer Gedanke, ein irdisches Verlangen in der Seele ist, denn diese ist an eine bestimmte Umgebung gebunden, die sie sich durch ihr Verlangen selbst schafft. Der freie Geist dagegen ist Herr über Zeit und Raum. Wo er weilen will, dort ist er; ihm ist geistiges Gebiet zugänglich, denn sein Wille allein genügt, um ihn dorthin zu versetzen, wo er weilen will. Sein Wille kann alles zuwege bringen, er ist durch nichts mehr gehindert, also völlig frei. Er hat auch keinen Rückgang mehr zu fürchten, so er einmal frei geworden ist, entfernt sich jedoch nicht gänzlich von dem noch in der Unfreiheit schmachtenden Geistigen, weil es ihn drängt, auch diesem zur Freiheit zu verhelfen. Und die noch unfreie Seele spürt dann erst die Wohltat des Freiwerdens, wenn ihr irdisches Verlangen nachzulassen beginnt.... Dann beginnt auch ihr Aufstieg, zuvor aber können undenklich lange Zeiten vergehen, wo sie nichts unternimmt, um frei zu werden aus der Form, die zwar nicht mehr aus irdischen Stoffen besteht, jedoch die Seele genau so belastet, daß sie diese als Zwang oder Druck empfindet. Sie muß oft beschwerliche Wege gehen, die sie kaum zu überwinden glaubt, sie muß Entbehrungen ertragen, wenn auch in einer anderen Weise als auf Erden, jedoch das Leid drückt sie nicht weniger wie auf Erden. Und diesen leidvollen Zustand hätte sie leicht auf Erden sich abwenden können, denn ihr waren die Möglichkeiten gegeben, frei zu werden aus der Form.... Dieses Bewußtsein ist quälend und erhöht ihre Pein, denn sie erkennt wohl ihren Leidenszustand, nicht aber, in welcher Weise sie sich auch im Jenseits davon noch befreien kann. Denn diese Erkenntnis ist erst die Folge ihres Willens, helfen zu wollen; erst wenn sie ihr eigenes Leid unbeachtet läßt und ihr die Not der mitleidenden Seele zu Herzen geht, wenn sie denen helfen möchte, wird es ihr klar, daß dies der einzige Weg ist, auch selbst frei zu werden, daß das Liebeswirken auch im Jenseits erforderlich ist, um die finstere Umgebung zu erhellen und in etwas lichtvollere Gegenden zu kommen, und es wird der Seele leichter und freier, je williger sie nun ist, den anderen leidenden Seelen zu dienen.... Das freie Geistige steht ihr bei, indem es die Seele unterweiset und ihr Ratschläge gibt, doch selbst unerkannt seiner Lichtfülle, denn genau wie auf Erden muß der Aufstieg zur Höhe aus völlig freiem Willen angestrebt werden, und jeder Zwang muß ausgeschaltet sein. Doch das freie Geistige läßt die leidenden Seelen nicht in ihrer Not, sondern es sucht ihnen zu helfen, wo und wie es nur angängig ist....

Amen

Übersetzer
Dies ist eine Originalkundgabe von Bertha Dudde

Le bénéfice de devenir libre - les tourments de l'état de relégation

La vie terrestre vous a été donnée pour le détachement de la forme. Ce que cela signifie, vous deviendra bien compréhensible seulement dans le Royaume spirituel, là où vous n’êtes plus entravé par une enveloppe, parce que celle-ci signifie toujours une chaîne pour l'esprit. Et l'esprit est lié tant qu’il y a encore une pensée, un désir terrestre dans l'âme, parce que celle-ci est liée à une ambiance déterminée qu'elle même se crée à travers son désir. L'esprit libre par contre est maitre du temps et de l'espace. Là où il veut demeurer, là il est ; les régions spirituelles lui sont accessibles, parce qu'il suffit seulement de sa volonté pour se transférer là où il veut demeurer. Sa volonté peut tout faire, elle n'est entravée par rien, donc elle est totalement libre. Il n'a plus à craindre une rétrogradation lorsqu’il est devenu libre, mais il ne s'éloigne pas entièrement tant que du spirituel languit encore dans la non-liberté, parce qu'il est poussé à l'aider y compris celui qui est arrivé à la liberté. Et l'âme encore non-libre sent seulement alors le bénéfice de devenir libre lorsque son désir terrestre commence à faiblir. Alors elle commence aussi sa remontée, mais avant d’en arriver là il peut se passer des temps immensément longs durant lesquels il n'entreprend rien pour se libérer de la forme, qui cependant ne consiste plus en substances terrestres, mais celles-ci chargent encore tellement l'âme, qu'elle le ressent comme une contrainte ou une pression. Souvent elle doit parcourir des voies difficiles qu’elle croit presque ne pas pouvoir dépasser, elle doit supporter des privations, même si c’est d’une autre manière que sur la Terre, mais la souffrance ne la presse pas moins que sur la Terre. Et elle aurait pu éviter facilement cet état de souffrance, parce que sur la Terre il lui avait été donné les possibilités de se libérer de la forme. Cette conscience est atroce et augmente sa peine, parce qu'elle reconnaît certes son état de souffrance, mais pas de quelle manière dans l'au-delà elle peut s’en libérer, parce que cette connaissance est seulement la conséquence de sa volonté de vouloir aider ; seulement lorsqu’elle laisse inaperçue sa souffrance et que la misère des âmes qui souffrent comme elle lui serre le cœur, lorsqu’elle voudrait les aider, il lui devient clair que cela est l'unique façon de devenir elle-même libre, pour éclairer son ambiance obscure et arriver dans des zones un peu plus lumineuses, et plus l’âme est maintenant de bonne volonté plus il lui sera facile et naturel de servir les autres âmes souffrantes. Le spirituel libre l'assiste en instruisant l'âme et en lui donnant des conseils, mais lui-même n'est pas reconnu dans sa plénitude de Lumière, parce que vraiment comme sur la Terre la remontée vers le Haut doit être désirée dans une totale libre volonté et toute contrainte doit être exclue. Mais le spirituel libre ne laisse pas dans leur misère les âmes souffrantes, mais il cherche à les aider où et comment cela est seulement possible.

Amen

Übersetzer
Übersetzt durch: Jean-Marc Grillet