Source: https://www.bertha-dudde.org/fr/proclamation/6712
6712 «Beaucoup sont appelés....» – La Vérité demande le désir
11 décembre 1956: livre 72
Pour pouvoir vous introduire dans la Vérité, il doit absolument y avoir la volonté, le désir pour la Vérité, autrement il ne peut pas vous être donné un Cadeau qu’autrefois vous avez repoussé : la Lumière de la connaissance. De toute façon toujours de nouveau il vous est offert, mais il vous faut la volonté d'accepter ce Cadeau. Vous êtes allé librement dans l'obscurité, vous avez laissé la Lumière derrière vous, vous avez renoncé à une possession délicieuse qui vous était propre, parce qu'elle était un des signes de la Perfection, dans laquelle était chaque être créé par Moi. Vous avez renoncé librement à la Perfection et vous êtes devenus des êtres sans Lumière ; vous avez perdu tous les signes de votre Perfection. Mais Mon Amour ne veut pas que vous restiez ainsi, comme vous vous êtes formés vous-mêmes. Et donc Je vous offre tout ce qui vous aide à arriver de nouveau à la Perfection. Mais cela suppose que votre volonté accepte ce que Je vous offre. Et ainsi Je veux vous guider vous les hommes dans la Vérité, lorsque vous en avez en vous le désir. Et sans exception vous les hommes vous êtes appelés à vous reconquérir la Béatitude et donc être aussi dans la Lumière de la Vérité. Vous ne pouvez donc pas dire que vous êtes pourvus avec moins de Grâces, que donc vous ne pouvez pas atteindre le but qui vous a été imposé. Mais la disponibilité d'acceptation des hommes est très diverse, et donc l'effet de Grâce est aussi très divers et cela vous fait croire à vous les hommes à une diminution des Grâces. Vous tous êtes appelés, parce que Je n'exclus aucun être, lorsque Je déverse Ma Mesure de Grâce qui doit vous aider à la Béatitude. Mais seulement peu sont élus, peu acceptent avec disponibilité les Dons de Grâce et en désirent toujours davantage, de sorte qu’ils puissent être pourvus en grande abondance, et que les Dons deviennent efficaces sur eux et que donc ils fassent partie déjà sur la Terre de ceux qui remontent, lesquels peuvent être pourvus de manière si évidente qu’au prochain ils apparaissent comme des «élus». Mais leur propre volonté, leur disponibilité et leur désir leur a procurés le mûrissement, et donc il a été possible de leur guider la Vérité, de leur offrir de nouveau la Lumière qui manque au prochain, parce que pour cela il manque à ces derniers la disponibilité. Aucun être qui désire la Lumière n’a besoin de se bouger dans l'obscurité. Parce que Je pourvoirai toujours Mes créatures selon leur désir, selon leur volonté, mais Je ne forcerai jamais cette volonté à accepter les Dons divins. Ce serait une contrainte si les hommes étaient pourvus contre leur volonté avec un Don inhabituel de Grâce, car ils seraient mis par contrainte dans la Lumière. Mais alors un tel être serait jugé, il ne serait pas un être qui décide librement de lui-même, qui peut se précipiter, mais aussi extraordinairement monter selon sa volonté. Et ainsi vous savez que chaque homme qui est dans la Lumière de la Vérité s'est conquis tout seul cette Lumière à travers sa volonté et ainsi vous pouvez déduire le degré de connaissance d'une volonté tournée vers Moi, parce que Moi Seul laisse rayonner la Lumière de la Vérité dans le cœur d'un homme qui cherche à s'unir avec Moi. Un homme qui Me renie, qui n'a aucun lien avec Moi, ne peut jamais et encore jamais être dans la Vérité, et il ne désirera jamais sérieusement cette Vérité : le savoir qui lui donne une Lumière sur son Origine et sur sa destination. Il est seulement dominé par des pensées et des plans tournés vers ce qui est terrestre, il se bouge d’une manière seulement terrestre, il ne reconnaît pas un Règne spirituel et donc il ne peut jamais recevoir l'éclaircissement sur ce Règne spirituel parce que sa volonté détermine les pensées qui lui affluent, et cette volonté est justement tournée seulement vers le monde, donc il sera rempli seulement de pensées mondaines. Sans votre volonté vous ne pouvez jamais arriver à la Vérité.
Amen
Traduit par Jean-Marc Grillet