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Kampf gegen sich selbst, Begierden und Überwinden dieser....

Tötet euren Leib ab, wenn ihr eurer Seele das Leben geben wollet.... Darunter ist nicht zu verstehen, daß ihr euren Leib mißhandeln sollet, daß ihr euch kasteiet oder euch selbst verunstaltet, denn solches bezeugt nur einen mangelhaften Verstand, eine Verirrung menschlichen Denkens und eine Mißachtung dessen, was Ich als Schöpfer euch gegeben habe, es bedeutet ein Mißachten des Werkes seinem Schöpfer gegenüber.... Was Ich von euch verlange, ist, daß ihr die Begierden des Körpers abtötet, daß ihr euch selbst überwindet, daß ihr nicht die Wünsche des Körpers, die nur seinem Wohlleben gelten, erfüllet und dadurch eurer Seele einen übergroßen Schaden zufüget. Es ist dieser Kampf gegen die körperlichen Begierden wahrlich schwer, er fordert euren ganzen Willen zur Verzichtleistung, er fordert ein freiwilliges Entbehren, ein Sich-Versagen dessen, was euch reizvoll erscheint. Es ist wahrlich ein Kampf, zu dem ihr Kraft benötigt, doch diese Kraft geht euch zu, so ihr es nur ernst meinet mit eurer Vollendung.... so ihr wirklich die Absicht habt, das Ziel auf Erden zu erreichen, vollkommen zu werden. Denn eure Vollkommenheit hängt von dem Zustand eurer Seele ab, nicht aber von dem Zustand eures Körpers. Und der Körper und dessen Leidenschaften sind euch beigegeben worden zur Erprobung eures Willens.... Für die Erdenzeit tritt daher der Körper in den Vordergrund, er will sich behaupten in seinen Ansprüchen, und alle seine Wünsche und Begierden sind dazu geeignet, das Verlangen der Seele zu verdrängen, denn immer wieder meldet er sich und sucht den Willen des Menschen zu bestimmen, ihm Erfüllung zu gewähren. Die Seele aber kann sich nicht offensichtlich äußern, und macht sie sich bemerkbar in Form von Gedanken, so werden diese Gedanken schnell wieder verdrängt, und es gehört eine große Willensstärke dazu, ihr Gehör zu schenken und den Körper um ihretwillen zu vernachlässigen.... Es gehört dazu eine Willensstärke, also muß der Mensch ankämpfen gegen die Begierden des Fleisches, gegen alles dem Körper Zuträgliche, das aber der Seele unzuträglich ist. Zu diesem Kampf wider euch selbst, wider eure Begierden.... fordere Ich euch auf, denn es ist nur der Kampf der Seele gegen den Körper.... Die Seele aber ist unvergänglich, und sie wird einmal das Los auf sich nehmen müssen, entsprechend ihrem Reifezustand, der aber ein sehr niedriger ist, wenn der Mensch den Körper zuerst bedenkt und die Seele darben lässet.... Kämpfet den Kampf gegen eure Begierden, tötet euren Leib ab, gebet ihm nur, wessen er zur Erhaltung seines Lebens bedarf.... alles andere aber wendet eurer Seele zu, die nur reifen kann, wenn ihrer im Erdenleben mehr gedacht wird als des Körpers.... Einen solchen Kampf werde Ich segnen, und er wird wohl anfangs eure ganze Willensstärke benötigen, aber auch stets leichter werden, je mehr ihr euch überwindet, denn Ich versorge euch ständig mit der Kraft zur Überwindung, wenn ihr selbst dies nur ernstlich wollet.... und dann werdet ihr sicher euer Ziel erreichen....

Amen

Übersetzer
Dies ist eine Originalkundgabe von Bertha Dudde

La lutte contre soi-même – dépassement du désir

Vous devez tuer votre corps, si vous voulez donner la Vie à votre âme. Avec cela vous ne devez pas comprendre que vous devez maltraiter votre corps, que vous devez mortifiez le corps ou bien vous défigurer vous-mêmes, parce que cela témoignerait seulement d’un esprit défectueux, d’une confusion de la pensée humaine et d’une non observance de ce qu’en tant que Créateur Je vous ai donné, car cela signifierait dédaigner l'Œuvre de son Créateur. Ce que J’exige de vous, est que vous tuiez les désirs du corps, que vous vous dépassiez vous-mêmes, que vous ne donniez pas suite aux désirs du corps qui sont seulement pour son bien-être, car avec cela vous causeriez un très grand dommage à votre âme. Cette lutte contre les désirs corporels est vraiment difficile, elle demande toute votre volonté d’abstinence, elle demande un libre renoncement, un reniement à ce qui vous semble désirable. C’est vraiment une lutte pour lequel vous avez besoin de Force, mais cette Force vous arrive, si seulement vous cherchez sérieusement à atteindre la perfection, si vous avez vraiment l’intention d’atteindre sur la Terre le but de devenir parfait. Parce que votre perfection dépend de l'état de votre âme, mais pas de l'état de votre corps. Et le corps et ses passions vous ont été ajoutés pour mettre à l'épreuve votre volonté. Pour le temps terrestre le corps se pousse au premier plan, il veut s'affirmer dans toutes ses exigences, et tous ses désirs et ses soifs sont adaptés à repousser le désir de l'âme, parce qu'il se fait toujours de nouveau sentir et il cherche à obliger la volonté de l'homme à lui concéder l'accomplissement. Mais l'âme ne peut pas se manifester ouvertement, sinon sous forme de pensées, ces pensées sont de nouveau vite repoussées, et il faut une grande force de volonté pour leur donner écoute et pour négliger son corps par amour pour elle. Pour cela il faut une force de volonté, donc l'homme doit combattre contre le désir de la chair, contre tout ce qui est agréable au corps, qui cependant est désagréable à l'âme. Vous êtes invité à cette lutte contre vous-mêmes, contre vos désirs, parce que c’est seulement la lutte de l'âme contre le corps. Mais l'âme est impérissable, et un jour elle devra prendre sur elle le sort conforme à son état de maturité qui cependant est très bas, si l'homme pense d’abord au corps et laisse languir l'âme. Menez la lutte contre vos désirs, tuez votre corps, donnez-lui seulement ce qui lui sert pour le maintien de la vie, mais tout le reste réservez-le à votre âme, qui peut mûrir seulement lorsque dans la vie terrestre vous pensez plus à elle qu'au corps. Je bénirai une telle lutte, et initialement elle demandera toute votre force de volonté, mais elle deviendra toujours plus légère, plus vous la dépassez, parce que Je vous pourvois constamment avec la Force pour le dépassement, si seulement vous-mêmes le voulez, et alors vous atteindrez certainement votre but.

Amen

Übersetzer
Übersetzt durch: Jean-Marc Grillet