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Strudel der Welt.... (Rosenmontag)

Im Trubel der Welt ersticken die Menschen jeglichen Trieb zur Höhe. Es ist wie ein giftiger Odem, der die Menschenherzen unfähig macht für geistiges Streben. Es kann keine Saat aufgehen, sie verkümmert, ehe sie sich entwickelt, weil sie erkrankt durch den Pesthauch der Welt. Verstehet dies, daß ihr Menschen in größter Gefahr seid, euch zu verlieren an den Feind eurer Seele, versteht es, daß er alle Mittel anwendet, um euer Wachstum zum Licht zu unterbinden, daß er Gift ausstreut, um die gute Saat zu vernichten. Verstehet es, daß die Freuden der Welt jenes Gift sind, dem eure Seele rettungslos zum Opfer fällt. Im Taumel des Genusses suchet ihr euer Glück, und ihr stürzet eure Seele ins Unglück. Ihr zollt dem Herrn der Welt euren Tribut, und ihr verkaufet eure Seele, denn ihr verlangt nach seinen Schätzen und suchet nur Erfüllung der körperlichen Wünsche und Begierden. Und er versagt sie euch nicht, er gibt reichlich, aber er fordert auch alles dafür, er gewinnt euch ganz und gar. Um nichtigen Lohnes willen gebt ihr euch ihm in die Hand. Stunden überschäumender Lebensfreude genügen euch, und dafür opfert ihr ewige Zeiten in Seligkeit.... Ihr seid ihm hörig geworden, der euch ins Verderben zieht. So ihr Meiner gedenken würdet, könntet ihr an dem Treiben keinen Gefallen finden, ihr würdet euch abwenden von dem Gifthauch, daß er euch nicht berühren könnte; ihr würdet erkennen, daß die Welt euer Feind ist, weil sie Anteil ist Meines Gegners. Doch eure Gedanken finden nicht mehr zu Mir, sie sind an die Erde gekettet, sie kreisen nur um die Lust der Welt, um die Sünde, die ihr zu verschleiern suchet und doch liebt. Ihr könnet euch selbst wohl täuschen, nicht aber Mich, Der Ich in eure Herzen sehe. Ich verdamme euch nicht, aber ihr selbst entfernet euch von Mir, denn es ist keine Liebe in euch außer der Eigenliebe, die euch herabzieht, nicht aber erheben kann. Denn hättet ihr die Liebe, dann wäret ihr Mir nicht fern, sondern ihr suchtet Mich auf allen euren Wegen. Dann könnte die Welt euch nicht reizen, dann hätte Mein Gegner die Macht über euch verloren, dann folgtet ihr nicht den Verlockungen der Welt. Denn durch die Liebe würdet ihr auch in der Erkenntnis stehen. In euch aber ist es dunkel, und ihr jagt nur dem Irrlicht nach. Ihr suchet Freuden und findet dabei den Tod.... Denn wen der Feind der Seelen einmal gewonnen hat, den gibt er nicht mehr her, und ein Lösen von ihm erfordert große Liebekraft, die aber selten ein Mensch noch entfalten kann, der einmal ihm zum Opfer fällt....

Amen

Übersetzer
Dies ist eine Originalkundgabe von Bertha Dudde

Le tourbillon du monde - (Lundi gras)

Dans le tourbillon du monde les hommes étouffent chaque poussée vers le Haut. Il y a comme un souffle vénéneux, qui rend le cœur des hommes incapable de tendre vers le spirituel. Aucune semence ne peut bourgeonner, elle se fane avant de se développer, parce qu'elle tombe malade à travers le souffle pestilentiel du monde. Comprenez cela, que vous les hommes vous êtes en grand danger de vous perdre au profit de l'ennemi de votre âme, comprenez qu’il emploie tous les moyens, pour empêcher votre croissance vers la Lumière, qu’il répand du poison, pour détruire la bonne semence. Comprenez que les joies du monde sont ce poison dont votre âme est la victime sans salut. Dans un délire de jouissance vous cherchez votre bonheur et précipitez votre âme dans le malheur. Vous payez votre hommage au patron du monde et lui vendez votre âme, parce que vous désirez ses trésors et cherchez seulement l'assouvissement des désirs et des soifs corporelles. Et il ne vous les refuse pas, il vous les donne abondamment, mais il exige tout pour cela, il vous conquiert totalement. Pour une récompense de rien vous vous donnez dans sa main. Il vous suffit de quelques heures de joie de vie pétillante pour que vous sacrifiiez des temps éternels de béatitude. Vous êtes devenus soumis à celui qui vous attire dans la ruine. Si vous pensiez à Moi, vous ne pourriez trouver aucun plaisir dans ces passe-temps, vous vous détourneriez de son souffle empoisonné qui ne pourrait pas vous toucher ; vous reconnaîtriez que le monde est votre ennemi parce qu'il est la part de Mon adversaire. Mais vos pensées ne Me trouvent plus, elles sont enchaînées à la Terre, au seul tourbillon des joies du monde, autour du péché que vous cherchez à cacher mais aimez de toute façon. Vous pouvez certes vous duper vous-mêmes, mais pas Moi, Qui regarde dans vos cœurs. Je ne vous condamne pas, mais vous-mêmes vous vous éloignez de Moi, parce qu’en vous il n'y a pas d’amour sauf l'amour propre qui vous attire vers le bas, mais ne peut pas vous élever. Parce que si vous aviez l'amour, vous ne seriez alors pas loin de Moi, et vous Me chercheriez sur toutes vos voies. Alors le monde ne pourrait pas vous stimuler, Mon adversaire aurait perdu le pouvoir sur vous, vous ne suivriez alors plus les tentations du monde ; parce qu'à travers l'amour vous seriez aussi dans la connaissance. Mais en vous il fait sombre et vous poursuivez seulement une lumière trompeuse. Vous cherchez les joies et vous trouvez la mort, parce que celui qui une fois a été conquis par l'ennemi des âmes n’est plus délivré, et un détachement de lui demande une grande force d'amour, et celui qui est tombé une fois sa victime est rarement en mesure de se développer.

Amen

Übersetzer
Übersetzt durch: Jean-Marc Grillet