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Lebendiger Glaube....

Der lebendige Glauben ist es, der den Menschen fehlt, der aber das Wichtigste ist, denn ohne den lebendigen Glauben stellt der Mensch nicht die Verbindung her mit Gott. Um Gott anzustreben und Verlangen zu haben nach dem Zusammenschluß mit Ihm, muß Er erst im Herzen bejaht werden. Er muß als seiend empfunden werden, also es muß der Mensch an Ihn glauben, daß Er ist und im engsten Zusammenhang steht mit Seinen Geschöpfen. Dieser lebendige Glaube erst hat das bewußte Streben nach Ihm zur Folge. Und so ist der Glaube unbedingt nötig, und Er kann nimmermehr ersetzt werden, denn ohne den Glauben ist das Gebet zu Gott um Kraft und Gnade hinfällig. Wer Gott nicht erkennt, der ruft Ihn nicht an. Der Anruf Gottes um Kraft aber ist nicht zu umgehen, weil der Mensch allein zu wenig Kraft hat zur Höherentwicklung, diese aber das Ziel des Erdenlebens ist. Lebendig glauben heißt mit voller Überzeugung für etwas eintreten können, was nicht bewiesen werden kann, und nun nach dieser Überzeugung auch zu leben, d.h. sie in die Tat umsetzen. Zumeist aber haben die Menschen nur einen toten Glauben, also sie bejahen nur mit dem Munde und erkennen alles an, was zu glauben von ihnen gefordert wird; sowie sie aber dem Glauben entsprechend leben sollen, bringen sie nicht die Kraft dazu auf, weil sie nicht fähig sind zu beten, also Hilfe anzufordern. Und denken sie nun ernstlich darüber nach, dann wird es ihnen klar, daß sich ihr Inneres, ihr Herz, gar nicht bejahend dazu einstellt, daß sie also gar keinen lebendigen Glauben haben. Ohne diesen Glauben aber versagt der Mensch im Leben, denn nun fehlt ihm jede Grundlage, er kann auch nicht den Sinn und Zweck der Schöpfung begreifen, denn alles, was mit Gott zusammenhängt, ist nicht zu beweisen, sondern es muß geglaubt, d.h. mit dem Herzen bejaht werden, und dieser lebendige Glaube mangelt der Menschheit.... Sie führt wohl die Gottheit im Munde und bekennt sich angeblich zu Ihr, sie bejaht aber eigentlich nur das Vorhandensein eines Schöpfers, da die Schöpfung einen solchen bedingt. Den Zusammenhang aller Dinge aber erkennt sie nicht und daher auch nicht das Verhältnis vom Menschen zum Schöpfer. Das rechte Verhältnis vom Menschen zum Schöpfer kann aber erst hergestellt werden, wenn der Mensch überzeugt ist von einem Wesen, Das Sich ihm in Liebe zuneigt. Denn nun sucht er diese Liebe für sich zu gewinnen durch Gebet und Hingabe an seinen Schöpfer. Das Gebet aber setzt den Glauben an eine Macht voraus, Die alles kann, was Sie will, und alles will, was gut ist.... Also muß das Wesen allmächtig und liebevoll sein.... Der Glaube an eine so vollkommene Wesenheit kann erst ein lebendiger genannt werden, denn dieser Glaube regt erst zur Tätigkeit an.... es strebt der Mensch gleichfalls nach Vollkommenheit, weil er das Verlangen hat, der ewigen Gottheit, Die er nun erkennt, näherzukommen, dies aber ein Tätigwerden des Willens erfordert. Wo aber der lebendige Glaube fehlt, dort bleibt auch der Wille untätig, oder er steckt sich ein falsches Ziel.... er strebt die Welt an, und es stellt der Mensch keine Verbindung her mit dem Wesen, Das ihn erschaffen hat. Der mangelnde Glaube ist sonach der Anlaß zu den verschiedensten Glaubensrichtungen, die darauf hinausgehen, die Unabhängigkeit des Menschen von der ihn erschaffenden Macht zu lehren, und die daher der Tod eines lebendigen Glaubens genannt werden können. Denn Zweck und Ziel des Erdenlebens ist das bewußte Anstreben der ewigen Gottheit, das Verlangen nach Zusammenschluß, was aber einen lebendigen Glauben voraussetzt.... einen Glauben, der Sache des Herzens ist, niemals aber verstandesmäßig gewonnen werden kann. Gott kann nur empfunden werden, und sowie Ihn das Herz bejaht, ist auch der Glaube lebendig, denn nun stellt auch der Mensch diesem Empfinden entsprechend das rechte Verhältnis zu Gott her, und ein bewußtes Streben nach Vollkommenheit ist die Folge dieser rechten Einstellung zu Gott. Wer jedoch verstandesmäßig Gott zu ergründen sucht, der steht außerhalb des Glaubens, wenngleich er durch Worte sich selbst als gläubig hinzustellen sucht. Der lebendige Glaube regt zur Tätigkeit an der Umgestaltung der Seele an, während der Formglaube eine solche vermissen läßt und eben darum nicht lebendig genannt werden kann, denn alles, was lebt, muß sich betätigen oder zu immerwährender Tätigkeit anregen....

Amen

Übersetzer
Dies ist eine Originalkundgabe von Bertha Dudde

La foi vivante

C’est une foi vivante qui manque aux hommes, et c’est la chose la plus importante, parce que sans la foi vivante l'homme n'établit pas la liaison avec Dieu. Pour tendre à Dieu et avoir le désir pour l'unification avec Lui, Il doit d'abord Être affirmé dans le cœur. Il doit être ressenti comme Existant, donc l'homme doit croire en Lui, il doit croire qu'Il Est et qu'Il est en liaison étroite avec Ses créatures. Seulement cette foi vivante a pour conséquence de tendre vers Lui. Et ainsi la foi est absolument nécessaire et elle ne peut jamais plus être remplacée, parce que sans foi la prière à Dieu pour la Force et la Grâce est caduque. Celui qui ne reconnaît pas Dieu, ne l'invoque pas. Or l'invocation de Dieu pour la Force est inéluctable, parce que l'homme tout seul a trop peu de Force pour se développer vers le Haut, et cela est le but de la vie terrestre. Croire de façon vivante signifie pouvoir s'employer rempli de conviction pour quelque chose qui ne peut pas être démontré, et désormais vivre aussi selon cette conviction, c'est-à-dire la mettre en acte. Mais les hommes ont presque toujours seulement une foi morte, donc ils affirment seulement avec la bouche et reconnaissent tout ce qui est exigé d’eux de croire ; mais dès qu'ils doivent vivre en fonction de cette foi, ils n'en ont pas la Force, parce qu'ils ne sont pas en mesure de prier, donc de demander de l'Aide. Et si maintenant ils réfléchissent sérieusement sur cela, alors il devient clair pour eux, que leur intérieur, leur cœur, ne s’agence pas en mode affirmatif, ils n'ont donc aucune foi vivante. Or sans cette foi l'homme échoue dans la vie, parce que maintenant il lui manque tout fondement, il ne peut pas comprendre le sens et le but de la Création, parce que tout ce qui est reliée avec Dieu, n'est pas démontrable, mais doit être cru, cela doit être affirmé avec le cœur, et à l'humanité il manque cette foi vivante. Elle-même porte certes la Divinité dans la bouche et apparemment se déclare pour Elle, mais elle affirme vraiment seulement l'Existence d'un Créateur, vu que la Création en exige Un. Mais elle ne reconnaît pas la liaison de toutes les choses et donc elle ne reconnait pas le rapport entre l'homme et le Créateur. Or ce juste rapport de l'homme au Créateur peut être établi seulement lorsque l'homme est convaincu d'un Être qui se baisse vers lui dans l'Amour. Parce que maintenant il cherche à conquérir pour lui cet Amour à travers la prière et le dévouement à son Créateur. Mais la prière suppose la foi dans le Pouvoir qui peut tout ce qu’il veut, et fait tout ce qui est bon. Donc l'Entité doit Être toute-puissante et aimable. Seulement la foi dans une Entité parfaite peut être appelée vivante, parce que cette foi stimule à l'activité, l'homme tend aussi à la perfection, parce qu'il a le désir de s'approcher de l'éternelle Divinité qu’il reconnait maintenant, mais cela demande que la volonté devienne active. Mais là où manque la foi vivante, là la volonté reste aussi inactive. Ou bien elle se fixe un but erroné, elle tend vers le monde, et l'homme n'établit aucun lien avec l'Être qui l'a créé. L’absence de foi est donc le motif des plus diverses orientations de la foi qui tendent à enseigner l'indépendance de l'homme du Pouvoir qui l'a créé, et donc on peut appeler cela la mort d'une foi vivante. Parce que le but et l’objectif de la vie terrestre est une tendance consciente vers l'éternelle Divinité, le désir pour l'unification, chose qui cependant suppose une foi vivante, une foi qui est l'affaire du cœur, mais qui ne peut jamais être conquise intellectuellement. Dieu peut seulement Être perçu, et dès que le cœur l’affirme, il y a aussi une foi vivante, parce que maintenant, conformément à ce sentiment, l'homme établit aussi le juste rapport envers Dieu, et une tendance consciente à la perfection est la conséquence de cette juste prédisposition envers Dieu. Mais celui qui veut sonder Dieu intellectuellement, se trouve en dehors de la foi, bien que lui-même cherche à se présenter croyant à travers les mots. Une vivante foi stimule à l'activité dans la transformation de l'âme, tandis qu’une foi formelle fait manquer ce but et justement pour cela elle ne peut pas être appelée vivante, parce que tout ce qui vit doit s'activer ou bien stimuler à une activité toujours continue.

Amen

Übersetzer
Übersetzt durch: Jean-Marc Grillet